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OUMAR OUMAR......tu es serieux là? pfffffff si le PIB ne mesure pas le niveau de richesse d'un pays alors quel indicateur est plus parlant? La CI a perdu la confiance des banques?...........Pfff tu es encore sérieux là? Pourtant a chaque besoin de financement le pays reçois bien plus que ce quil avait demandé. c'est bizarre mais jai limpression que voir le pays faire des progres et avancer vous chagrine. Avant c'etait le ghana votre reference aujourdhui on depasse le ghana et ça vous fait deja mal? VOUS ALLEZ SOUFFRIR ENCORE LONGTEMPS
C'est a croire que tu maitrises mieux les indicateurs que toutes les institutions de bretton woods
 
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OUMAR OUMAR......tu es serieux là? pfffffff si le PIB ne mesure pas le niveau de richesse d'un pays alors quel indicateur est plus parlant? La CI a perdu la confiance des banques?...........Pfff tu es encore sérieux là? Pourtant a chaque besoin de financement le pays reçois bien plus que ce quil avait demandé. c'est bizarre mais jai limpression que voir le pays faire des progres et avancer vous chagrine. Avant c'etait le ghana votre reference aujourdhui on depasse le ghana et ça vous fait deja mal? VOUS ALLEZ SOUFFRIR ENCORE LONGTEMPS
 
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Une grande révolution devrait s'opérer dans la hiérarchie des économies de la CEDEAO dès 2023.
En effet, la Côte d'Ivoire devrait ravir la place de la 2ème plus importante économie de la région au Ghana, derrière l'intouchable Nigéria, selon la dernière mise à jour de la base de données des perspectives économiques mondiales du Fonds monétaire international.
Il ressort ainsi que le PIB (Produit intérieur brut) – mesure du niveau de richesse d'un pays – d'Abidjan devrait passer de 70 milliards de dollars en 2022 à 77 milliards de dollars en 2023, soit une augmentation attendue de 7 milliards de dollars. Là où Accra verrait son niveau de production dégringoler de 73 milliards de dollars en 2022 à 67 milliards de dollars en 2023, représentant une baisse de 6 milliards de dollars.
Cette évolution s'expliquerait par les déboires que connaît actuellement l'économie ghanéenne, confrontée notamment à un niveau d'endettement très élevé qui pourrait atteindre 98,7% du PIB, selon le FMI. Le pays qui subit également une importante dépréciation de sa monnaie par rapport au dollar, conjuguée à une forte inflation, devrait enregistrer un ralentissement de sa croissance.
A l'opposé, la Côte d'Ivoire a conservé sa belle dynamique économique entamée depuis 2012 avec un taux de croissance moyen de 7% (à l'exception de la parenthèse de la Covid-19), à la faveur d'une politique d'investissement volontariste impulsée par le gouvernement.
La Côte d'Ivoire retrouverait ainsi une place qu'elle avait perdue depuis 2005, en raison d'une augmentation moins importante de son PIB que celle de son voisin ghanéen. Ce dernier ayant réussi à faire progresser son PIB à 24,6 milliards de dollars, quand celui de la Côte d'Ivoire s'établissait à 23,59 milliards de dollars, toujours selon la même source.
En plus du Nigéria (507 milliards de dollars), de la Côte d'Ivoire (77 milliards de dollars) et du Ghana (67 milliards de dollars), le Sénégal (31 milliards de dollars) et la Guinée (23 milliards de dollars) achèvent le top 5 des plus grandes économies de la CEDEAO.
 
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