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Comme d'habitude le cours est tiré par le haut pour permettre aux partenaires stratégiques de sortir dans les meilleures conditions possibles au détriment de l'intérêt des investisseurs nationaux et avec le consentement des autorités concernées ainsi que du travail des IB en coulisse. Les sessions de participation stratégique sur la bourse des valeurs mobilières d'un pays en voie de développement apportent de nombreux désagréments et nécessite la vigilance du CMF tout particulièrement : Volatilité accrue : Les marchés financiers des pays en voie de développement sont souvent plus volatils que ceux des économies développées. Cela est dû à des facteurs tels que l'instabilité politique, les fluctuations monétaires et les incertitudes économiques. Les sessions de participation stratégique peuvent amplifier cette volatilité, ce qui peut rendre les investissements plus risqués.
Manque de liquidité : Les bourses des pays en voie de développement peuvent avoir une liquidité limitée par rapport aux grandes bourses mondiales. Cela signifie qu'il peut être difficile de trouver des acheteurs ou des vendeurs pour les actions ou les titres de participation stratégique. Un manque de liquidité peut entraîner des difficultés pour entrer ou sortir d'une position, ce qui peut limiter les possibilités de négociation et augmenter les risques.
Réglementation et gouvernance faibles : Les marchés financiers des pays en voie de développement peuvent être confrontés à des lacunes en termes de réglementation et de gouvernance. Les règles relatives à la participation stratégique peuvent être moins claires ou moins strictement appliquées, ce qui peut favoriser des pratiques frauduleuses ou manipulatrices. Les investisseurs peuvent donc être exposés à un risque accru de corruption, de mauvaise gestion ou de manipulation des prix.
Risque politique et économique : Les pays en voie de développement sont souvent plus vulnérables aux risques politiques et économiques que les économies développées. Les changements de politique, les crises économiques, les instabilités sociales ou les conflits peuvent avoir un impact majeur sur les investissements. Les sessions de participation stratégique peuvent donc être soumises à un risque politique et économique plus élevé, ce qui peut entraîner des pertes importantes pour les investisseurs.
Accès limité à l'information : Dans certains pays en voie de développement, l'accès à des informations précises et fiables sur les sociétés cotées peut être limité. Il peut y avoir un manque de transparence dans les rapports financiers, ce qui rend difficile pour les investisseurs de prendre des décisions éclairées. Cela peut augmenter le niveau d'incertitude et les risques liés aux sessions de participation stratégique. CMF au boulot !
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