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@Zoug pas besoin de source c'est une simple deduction, @Dkec ce n'est pas le poids du privée le probleme, c'est le conflit d'intérêt la source des probelemes,
la STB fiiance ses filiales, et la BIAT également, l'une publique l'autre privée, alors pourquoi tu voudrais ne pas ouvrir la porte du capital bancaire aus privés ?
La vari question, c'est pourquoi il n' y a pas eu de banque Tunisienne qui sort des frontières et qui s'est implanté dans les pays voisins, alors qu 'il y en a dans les autres pays émergents ?
Nous sommes un pays capable de destituer une bon premier ministre à cause d'un retard dans la déclaration d'un supposé conflit d'intérêt , ce même pays est incapable de pousser les banques à être equitable envers les acteurs économiques et de les traiter de la même manière,
C'est normale que le privée veuille se positionner dans les banques, c'est une conséquence logique de ce disfonctionnement.
Ce qui s'est passé à mon avis c'est un manque de tacte qui pourrait avoir des conséquences néfastes autant sur le secetur publique et privée,
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Bjr.pour neila horchani 300 millimes de moins ça lui coûtera la bagatelle de 3 milliards de quoi s'acheter une lamborghini aventador pauvre dame hhhh
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BNA ça va se passer ainsi ?
Quel manque de tacte, de la part de l'état, Horchani te derange, prend le taureau par les cornes, et soumet les a des audits approfondies, kallou sppression de 2 postes du conseil , on verra bien l 'amelioration de la gouvernance , avec 10 membres au lieu de 12, -)
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Retour à la case départ pour la BH Bank en matière de " bonne " gouvernance. Ce qui s'est passé ce samedi matin à l'Assemblée Générale Ordinaire de la banque ne laisse plus aucun doute que l'Etat ne croit pas au partenariat public-privé (PPP).
Les décisions annoncées par le représentant de l'Etat dans le conseil d'administration de BH Bank lors de la réunion annuelle des actionnaires confirment la mainmise du ministère des Finances sur le Conseil d'administration de la banque.
En effet, usant de ses droits en sa qualité d'actionnaire de référence avec 56% du capital (Etat : 33,3% - Entreprises publiques : 22,2% - Entreprises para-publiques : 1%) l'Etat a voté contre le renouvellement du mandat de l'administrateur M. Mohamed Sadok Driss et a décidé de mettre fin au mandat de l'administrateur M. Ahmed Trabelsi.
Par conséquent, le Conseil d'administration devient désormais recomposé de 10 membres au lieu de 12 auparavant et ce, comme suit :
- 5 Représentants de l'Etat et autres participants publics.
- 2 Représentants du secteur privé.
- 1 Représentant des petits porteurs.
- 2 Indépendants
Au vu de cette situation et en guise de soutien aux deux membres " virés " par l'Etat, Madame Naila HORCHANI, représentante du Groupe HORCHANI qui détient 23% du capital de la BH Bank, a annoncé qu'elle a décidé de se retirer du Conseil d'administration de la banque et a quitté la salle avant la fin de l'Assemblée Générale.
Le représentant de l'Etat, qui n'a pas cessé de rappeler que l'Etat, de par sa qualité d'actionnaire de référence de la BH Bank, a fait usage de son droit à prendre ces décisions, a déclaré que l'Etat entend donner la chance à d'autres actionnaires privés de la banque de siéger à son Conseil d'administration.
Le représentant de l'Etat, qui n'a fait que transmettre à l'Assemblée les instructions qui lui ont été dictées par la ministre des Finances, a souligné qu'avec 10 membres le conseil d'administration devrait mieux fonctionner qu'avec 12 membres.
Espérons bien que cette marche arrière qu'a faite le ministère des Finances en matière de gouvernance n'impactera pas le climat social de la BH Bank et n'entravera pas le bon déroulement de l'activité de la banque sous la houlette de son nouveau Directeur Général.
Omar El Oudi
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