![]() |
ok
mais je pense que ça ne doit pas être ça la raison. si ça était "un nouveau partenaire"...peut être
![]() |
 
Répondre
|
فلڨتونا روسنا بيها هذي اسد
الفترة الي فاتت
وينكم
شبيكم لبتوا
اڨعدوا رايضين في بلايصكم
و تيترواتكم امسحوا بيها صبابطكم
![]() |
 
Répondre
|
Vas dire ça aux centaines de personnes qui se sont fait des 30 et 40% sur CC, Somoc, Tgh ou autre... Entreprise déficitaire ne veut pas dire que son cours ne bougera pas, surtt si on vise pas le LT
![]() |
 
Répondre
|
Vas dire ça aux centaines de personnes qui se sont fait des 30 et 40% sur CC, Somoc, Tgh ou autre... Entreprise déficitaire ne veut pas dire que son cours ne bougera pas, surtt si on vise pas le LT
![]() |
 
Répondre
|
il faut jamais mettre un dinar dans une entreprise déficitaire ou qui ne publie pas ses EF
bellahi khoudhou 3bra du cas servicom
![]() |
 
Répondre
|
Les nouvelles perspectives d’Assad, elles sont dans la batterie solaire et dans le lithium. Ce n’est pas le DG de l’entreprise qui le dit, mais Wissem Zouari, directeur de l’usine à Bouargoub, qui le dit dans une vidéo promotionnelle du site « successfull » de Moez Hrizi, pour lequel il déclare sans autre forme de détail que « nous avons l’ambitieux projet de développer les batteries au lithium ». Mehdi Kallel donne ensuite la petite précision qu’il s’agit de « batteries pour la mobilité et la micro-mobilité électrique, avec plusieurs partenaires, de Tunisie et de l’étranger ».
On comprend donc, selon une source de l’entreprise qui a requis l’anonymat, que c’est encore au niveau des prototypes expérimentaux qu’il ne s’agira pas des batteries pour les véhicules, mais pour des startups tunisiennes en mal de mobilité. Et s’il y a production, elle est encore en petites quantités et en petites séries sur une petite ligne de production et à la recherche de certification qui ouvrirait l’export lequel pourrait démarrer en 2025. On comprend aussi que même si le taux d’intégration (de 20 à 40 % selon les produits) est assez élevé, la cellule serait importée. L’entreprise vise les batteries pour le stockage du photovoltaïque, les motos électriques et autres véhicules électriques légers, avec l’entreprise Bako Motors qui serait déjà client. Ce qui est sûr, c’est que le groupe Assad bouge, cherche de nouvelles perspectives et donne un nouvel élan à la société-mère et tout son groupe, qui était aussi déficitaire de 8,568 MDT en 2022, et réduisait cette année-là ses pertes de plus de 4,6 MDT.
Article publié depuis la semaine dernière par African Manager...
![]() |
 
Répondre
|