Réflexion sur labsence dETF et de trackers sur le marché tunisien

Il faut d’abord avoir un catalogue riche de sociétés cotés. Nous sommes à quelques dizaines de valeurs vraiment « actives » et puis il faut avoir des valeurs dans tous les secteurs. Aujourd’hui a part le financier/bancaire, ton idée mènera à des ETF sectoriels avec 1 ou 2 valeurs.

Autre chose, les gestionnaires de la places battent souvent les indices tunindex et tunindex 20 a travers les FCP. Donc l’intérêt pour de tels indices reste à stimuler.

La vrai question est pourquoi il n’y a plus de nouvelles introductions ces dernières années ? Les radiations dépassent peut être les introductions.

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Bonjour à tous,

Je me permets de soulever une réflexion qui me préoccupe depuis un certain temps : comment se fait-il que nous n’ayons toujours pas, sur le marché boursier tunisien, de produits indiciels tels que des trackers, des ETF ou d’autres instruments de réplication passive de notre indice de référence ?

Bien que je comprenne que des considérations économiques — notamment en matière de frais d’intermédiation et de coûts d’infrastructure — puissent en partie expliquer cette situation, je suis convaincu que cette absence pèse structurellement sur le dynamisme de notre place financière. En effet, le manque de tels véhicules d’investissement se traduit par une profondeur de marché très limitée, des volumes d’échanges restreints et, in fine, une attractivité insuffisante, tant pour les investisseurs locaux qu’internationaux.

Je précise que mon propos ne porte pas sur des instruments financiers complexes ou exotiques, mais simplement sur des produits basiques permettant une exposition passive à un panier représentatif du marché tunisien.

À votre avis, quelles seraient les véritables barrières (réglementaires, fiscales, économiques ou structurelles) qui freinent le développement de ce type de produits en Tunisie ? Et pensez-vous que la situation pourrait évoluer dans les prochaines années ?

Bien à vous,

Hamma

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