Kais Saied préfère "compter sur nous-mêmes" plutôt que de se soumettre

avec 141 jours repos (officiel ds l'administration sans compter ilfas3a witkarkir et les congés de maladie)

compter sur ns mm c'est mission impossible

c'est du populisme

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bonjour , j espere me tromper pour moi la retrusturation est fortement nécessaire et les fonds aussi

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que du bla bla

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marché en vert, je m'attendais à une baisse du TUNINDEX.

je pense que le marché a confiance aux ajustements structurelles qui seront engagés par l'Etat sans crédit FMI.

On doit compter sur nous même et arrêter de payer la stabilité et la paix sociale par les crédits. Erreur faite par les gouvernements précédents

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Ok la résolution est bonne, est ce que l'état peut donner l'exemple à suivre : restrictions budgétaires, réduction achat de voitures, une meilleur supervision des ses dépenses en devises ect....

Message complété le 07/04/2023 12:06:33 par son auteur.

Acheter que le service Tunisien, privilégier les intrants Tunisiens dans les appel d'offre en service et fourniture, la marge de manoeuvre est énorme pour l'état qui ne propose pas d'alternatives claires

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Certes! Arretons ce cercle infernal d'endettement on est à plus de 100 PIB.... on emprunte pour servir anciennes dettes... Allah yehlek les politiciens de la decennie noire!

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J'espère que le nouveau parlement comprendra que les exigences du FMI sont pour notre faveur. On en a besoin. on ne peut plus continuer à s'endetter, à avoir des entreprises publiques à l'gonie sans réformes on n'a pas le choix, autrement, on n'aura plus de quoi payer médicaments, farine, carburants ...

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Le Président de la République tunisienne, Kais Saied, a fait une déclaration forte sur l'accord avec le Fonds monétaire international (FMI) permettant à la Tunisie de bénéficier d'un nouveau prêt de 1,9 milliard de dollars.

Lors d'une visite à Monastir pour superviser les célébrations marquant le 23ème anniversaire du décès de l'ancien président, Habib Bourguiba, Kais Saied a déclaré que les diktats imposés à la Tunisie de l'extérieur sont inacceptables et risquent de provoquer un appauvrissement supplémentaire du pays.

Interrogé sur la question de savoir s'il signerait ou non l'accord avec le FMI, le président tunisien a affirmé qu'il préférait "compter sur nous-mêmes" plutôt que de se soumettre aux exigences extérieures. "La paix civile n'est pas une chose simple", a-t-il ajouté.

Cette position n'est pas nouvelle. Depuis plus de trois mois, le FMI attend la "voie libre du Président de la République pour signer l'accord final". Les déclarations précédentes du Président Saied rejetant comme "exagérées" les prétentions d'un effondrement économique ou social imminent ont également été perçues comme un obstacle à la signature de l'accord.

Implications économiques importantes pour la Tunisie

Cette décision du Président Saied de ne pas accepter les conditions du FMI a des implications importantes pour l'économie tunisienne. Le pays est confronté à des défis économiques majeurs, notamment une inflation élevée, un chômage croissant et une dette publique importante. La question de savoir comment le pays peut gérer ces défis sans l'aide du FMI reste ouverte.

Il sied de rappeler que le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Marouane EL Abassi, et le Ministre de l'Economie et de la Planification, Samir Saied, se préparent à effectuer une visite à Washington pour assister aux Réunions de printemps 2023 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI).Dans ce contexte, la visite à Washington du gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie et du Ministre de l'Economie et de la Planification revêt une importance particulière.

Mariem Ben Yahia

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