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Ils doivent assumer leurs responsabilités et solidairement.
la passivité ne dégage pas de la responsabilité ceci est valable, aussi bien pour la banque propriétaire de l'IB que pour l'autorité de contrôle.
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Affirmatif si Moncef.
S'il ne se passe rien d'ici demain, il vont me dédommager par la différence entre le cour du tunindex du 23/4 et le pourcentage d'évolution le jour du déblocage de mes comptes .hhh
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Et rebelote, la7rach radhih WEL b9ia yedhom fichrita.
Hani mech nwelli mouch motrobi.
Message complété le 27/05/2025 21:08:06 par son auteur.
A bientôt.
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j'aimerai bien que vous expliquez cette histoire des 4 milliards disparus. là vous êtes en train de dire si je ne me trompe pas que les services de la BCT et les CC sont hors du coup et que l'Etat va s'offrir et servir à ses associés des dividendes fictifs.
ce qui est fictif par contre ce sont ces évaluations d'actifs à coup de centaines de milliards, constatés sous forme d'apports en nature, alors qu'ils ne valent pas le dixième de leurs chiffres.
Sur la place boursière, les entreprises publiques avec leurs carences, restent celles qui se rapprochent un peu de la réalité. Pour le cas de la BNA, il suffit que l'Etat décide de répartir le fardeau Office des Céréales sur toutes les banques pour qu'elle se hisse à la place qui lui revient de droit. En attendant je préfère acheter une valeur publique BNA à 9,2 DT qui va me servir 1 DT dans moins d'un mois que d'acheter une OTH à 10 DT qui ne pourra pas me rapporter plus que 0,260 par an, soit le tiers du coût de l'inflation.
Une bulle d'air ne peut être gonflée indéfiniment viendra le moment où elle explosera et là, on simulera la surprise de constater qu'il n'y avait rien dedans, bien qu'on le savait pertinemment. les exemples sont multiples.
moi en tant que petit épargnant je ne suis ni un capital risqueur ni un fonds d'investissement. je choisis mes placements en fonction de leur solidité financière, de leur pérennité et de leur rentabilité. ça ne me fait ni chaud ni froid que le cours boursier d'une action peut être multiplié par deux ou trois à la suite d'opérations peu claires à l'instar du manège que connaissent certaine valeurs que je ne regarde même pas, sachant qu'elles sont sur le droit chemins des disparues et je ne m'y intéresse même pas.
à propos de TSI, j'ai bien peur qu'un TSI peut en cacher d'autres. lui même n'a-t-il pas été précédé par le défunt Adel DRIDI?
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@ si Moncef,
A vous de proposer la manière d'agir, vous êtes le mieux expérimenté.
Une pyramide de ponzi se construit en année pas en mois...
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Pour revenir au sujet principal, je trouve cette comparaison totalement infondée, et ce pour au moins deux raisons. Premièrement, les deux sociétés évoluent dans des contextes économiques radicalement différents. Deuxièmement, il est absurde de comparer des titres boursiers en se fondant principalement sur leur rendement en dividendes.
Mais au-delà de cela, un problème bien plus grave nous saute aux yeux, comme un éléphant assis au milieu du salon. Sa présence est flagrante, mais pour une raison que j’attribue au déni, on choisit collectivement de l’ignorer. Je parle évidemment de la BNA. Et là, c’est le choc : 4 milliards de dinars d’emprunts partis en fumée. Oui, 4 milliards ! C’est-à-dire 4 suivis de neuf zéros, que la BNA ne pourra jamais récupérer. C’est terminé, perdu, irrécupérable !
Quand on sait que la capitalisation boursière de la BNA tourne autour de 600 millions de dinars, cela signifie que la banque devrait combler un trou qui représente plus de six fois sa valeur boursière actuelle. La situation est donc extrêmement préoccupante.
Pour ma part, j’ai accumulé au fil des années 15 000 titres. Et comme vous, je trouve le cours actuel complètement illogique, surtout avec un PER autour de 3. Oui, 3 ! Ce chiffre à lui seul montre à quel point on peut faire dire ce qu’on veut aux indicateurs financiers, selon l’angle choisi.
Évidemment, je ne parlerai même pas de son exposition à l’Office des Céréales...
En conclusion, vous achetez aujourd’hui des titres BNA à 9 dinars, vous touchez 1 dinar de dividende par action… Et ensuite ? Quelle certitude avez-vous quant à l’évolution future du cours d’une action qui souffre clairement de problèmes structurels ? Quels sont les arguments concrets pour écarter la possibilité d’un effondrement — imminent ou différé — de ce titre ?
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Pendant que certains dorment, les gros commencent à accumuler. Et vous allez faire quoi quand elle cassera les 10TND avec volume ? Regarder ou monter à bord trop tard ?
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Panurge avait trouvé la solution pour tout foutre en l'air, d'un simple clic, à nous d'en faire de mêmes
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Si Moncef,
Ce n'est plus le troupeau ni le mouton de Panurge. C'est le bateau et ses capitaines.
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Je sais très bien et j'essaye à chaque fois de tirer la sonnette d'alarme mais le troupeau c'est le troupeau et l'histoire du mouton de panurge est toujours vivante.
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Hani mouch motrobi.
Regardez les titres qui ont fait faillite.
Qui a profité et qui est complice?
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Justement, notre bourse laissée à la mercie des escrocs et des margoulins, incite les pauvres épargnants à miser sur l'incertain et sur les trésors enfouis
regardez un peu les performances des titres au bord de la faillite et les cours des titres dotés de solides fondamentaux .... On te parle de gains de 100 à 300 % sans jamais te dire qui sera le perdant (vous par définition).
Ils se passe des aberrations que le CMF doit logiquement stopper voire interdire...
On te présente pour preuve des courbes et des analyses faites sur la base de chiffres trafiqués
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