ASCOMA partenaire de l’industrie agroalimentaire africaine face à ses défis

L'industrie agroalimentaire africaine s'impose comme un pilier stratégique pour la croissance du  continent, avec un rôle vital dans la sécurité alimentaire, la création d'emplois et  l'industrialisation locale. Ce secteur recèle un important potentiel économique, mais reste freiné  par de profonds défis structurels : faible transformation locale, infrastructures logistiques  défaillantes, accès limité aux financements, aléas climatiques ou encore pénurie de  compétences. Face à ces risques multiples, une conviction s'impose dans les milieux d'affaires :  la gestion rigoureuse des risques est un prérequis pour libérer le plein essor de l'agro-industrie  africaine. 

C'est précisément sur ce créneau qu'intervient ASCOMA, un réseau panafricain de courtage  d'assurance. Filiale du groupe international Chedid Capital, ASCOMA s'appuie sur une expertise  technique pointue et un ancrage local fort pour proposer des solutions d'assurance sur mesure.  L'objectif : sécuriser les opérations des acteurs agroalimentaires, renforcer leur compétitivité et,  in fine, attirer davantage d'investissements dans ce secteur clé. ''L'assurance n'est pas un simple  filet de sécurité, c'est un levier de croissance qui transforme l'incertitude en confiance'', résume  Stéphane Blanche, Directeur Groupe de la souscription et de la Production chez ASCOMA. 

Sécuriser la production agricole à la source 

La première vulnérabilité de la filière agroalimentaire se situe à la base : la production agricole.  Sécheresses, inondations ou maladies peuvent anéantir des récoltes entières, mettant en péril  l'approvisionnement des usines de transformation. Pour y remédier, ASCOMA déploie des  assurances agricoles indexées accessibles aux petits producteurs, les protégeant contre les  aléas climatiques. En garantissant ainsi un volume d'approvisionnement stable en amont, le  courtier aide toute la chaîne à gagner en résilience et à réduire les ruptures de stock. 

Les risques continuent jusqu'au consommateur final. Transport et stockage dans un contexte  d'infrastructures souvent précaires exposent les denrées à des avaries, des ruptures de la chaîne  du froid ou des retards de livraison. Là encore, ASCOMA propose des couvertures pour les  marchandises en transit – y compris périssables – afin de sécuriser la logistique et assurer que  les produits parviennent sur le marché en temps voulu et en bon état. 

Protéger l'outil industriel et les équipes 

Autre enjeu critique : la protection de l'outil industriel et du capital humain. Les usines de  transformation agroalimentaire font face à des sinistres potentiels tels que l'incendie, la panne  majeure ou les catastrophes naturelles – autant d'événements pouvant interrompre la production  et grever lourdement les résultats financiers. Des polices multirisques industrielles adaptées  permettent de couvrir les dommages matériels, la responsabilité civile ou les pertes  d'exploitation, assurant aux industriels un redémarrage rapide de l'activité en cas d'arrêt imprévu. 

Parallèlement, la pérennité du secteur passe par la protection de sa main-d'œuvre, ressource  précieuse souvent sous-estimée. ASCOMA accompagne ses clients avec des couvertures santé  et prévoyance collectives, ainsi que des assurances accidents du travail. Ces solutions protègent  les employés, réduisent l'absentéisme et renforcent la fidélisation d'une main-d'œuvre qualifiée  – un moteur essentiel de la performance sur le long terme. 

Renforcer la confiance et attirer les investissements

Réputation et conformité représentent un autre pan critique du risque. Un incident sanitaire ou  un produit non conforme peut déclencher des rappels massifs, entacher l'image d'une marque  et engager la responsabilité juridique de l'entreprise. Des assurances responsabilité civile produit  et ''retrait de lot'' proposées par ASCOMA aident à préserver la confiance des distributeurs, des  consommateurs et des régulateurs, tout en accompagnant les entreprises dans le respect des  normes locales et internationales. 

Enfin, la maîtrise des risques opérationnels constitue un atout précieux pour accéder aux  financements. Beaucoup d'agro-industriels africains peinent encore à obtenir des crédits  bancaires ou des investisseurs en raison d'une perception de risque élevée. En sécurisant leurs  créances via l'assurance-crédit et en se prémunissant contre des risques politiques comme  l'expropriation ou l'inconvertibilité monétaire, ces entreprises envoient un signal rassurant aux  bailleurs de fonds. ''Une entreprise bien assurée montre aux financeurs qu'elle connaît et  maîtrise ses risques'', souligne Stéphane Blanche, favorisant ainsi l'investissement dans de  nouveaux projets agroalimentaires. 

En couvrant l'ensemble de la chaîne de valeur du champ à l'usine, puis du transport au  consommateur ASCOMA s'affirme comme un partenaire de confiance pour le développement  durable de l'agro-industrie africaine. Plus qu'un simple courtier, l'entreprise se positionne en  acteur de structuration du secteur. ''Notre rôle va au-delà du courtage : nous nous positionnons  en partenaires de développement, ancrés dans les réalités du terrain et tournés vers l'impact  durable'', conclut Stéphane Blanche, réaffirmant l'engagement à long terme d'ASCOMA aux côtés  des industriels africains face aux défis de demain.

Stéphane Blanche, Directeur des opérations de souscription et de production du groupe ASCOMA

Fort d'une expérience professionnelle de 30 ans en Risk Management et en assurance en France et en Afrique, Stéphane Blanche rejoint Ascoma Assureurs Conseils, Groupe Chedid Capital, en janvier 2025, pour piloter et optimiser les opérations de souscription et de production du groupe de courtage. 

Stéphane Blanche a débuté sa carrière en 1992 dans les services de la Direction de la Sécurité Civile du ministère de l'Intérieur français, puis a été responsable de services de prévention et de souscription de différentes compagnies d'assurance et directeur des risques de plusieurs groupes industriels internationaux. Il a ensuite été directeur des produits non-vie du Groupe panafricain d'assurances SAHAM, puis directeur de la BU Corporate de SAHAM Assurance Maroc et directeur marchés de la SMACL Assurances en France avant de rejoindre le groupe Chedid.

Titulaire du DESS Gestion des risques et des crises de l'université de la Sorbonne, d'un diplôme d'ingénieur spécialité gestion des risques du CNAM de Paris, Stéphane BLANCHE a aussi suivi l'Executive MBA de Management de compagnies d'assurance de l'Ecole Nationale d'Assurances (ENASS) de Paris

Communiqué

Publié le 03/06/25 13:03